8 Octobre 2025
Pour ce jeudi matin, dernier jour à Assouan, le guide nous a laissé dormir un peu plus puisque le départ du bateau se fait à 9h30. Nous allons faire une balade en felouque sur le Nil.
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La felouque est un grand bateau à voile, ce qui rend la balade agréable et silencieuse. Nous naviguons dans les alentours de l’Ile Eléphantine qui a la particularité d’avoir des grosses pierres qui ressemblent à des éléphants de loin. Après le petit tour, l’équipage se met à chanter des chansons puis ils sortent leurs babioles à vendre. J’ai essayé d’acheter un truc mais il n’a jamais accepté mon prix. Faut croire que j’étais trop agressif sur la négociation.
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Après près d’une heure trente de balade, nous quittons la felouque pour un autre moyen de transport afin de rejoindre un magasin de coton, le taxi. Une voiture dernière génération avec peu de kilomètres, la climatisation et une conduite souple. NON. Nous montons dans une Peugeot 504 break des années 70 avec aucune direction assistée, un compteur kilométrique bien au-delà des 500 000 km (en vrai, impossible de savoir car rien d’affiché et le conducteur n’a pas pu me dire) et la climatisation à l’ancienne, des fenêtres ouvertes. Voilà déjà quelque chose d’atypique mais alors nous n’étions pas prêts pour la suite.
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Le chauffeur était fier de sa sono, un poste de radio avec télécommande et cinq titres qui passent en boucle, trois titres dance des années 90 et deux chansons égyptiennes. Il fait péter les watts, sauf que les haut-parleurs sont d’époque donc ça grésille direct, c’est horrible mais drôle. Quid de la conduite ? Bah, il n’y a pas de règles. Tout fonctionne au klaxon, ça double n’importe comment même quand il y a des véhicules en face, ça ne ralentit pas quand il y a des piétons, ça zigzague. C’est folklorique.
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Nous arrivons au magasin de coton où les gens peuvent faire leurs achats de vêtements, foulards ou tapis puis avant de repartir, je fais le tour des différentes 504. Nous repartons vers le centre d’Assouan, toujours en taxi, et là ce ne sera plus folklorique mais plutôt suicidaire. Je serre les fesses parce qu’on a l’impression qu’on va cartonner à chaque moment. Je ne m’imagine même pas au volant.
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Arrivés au magasin d’épices, Emeline ne se sent pas bien suite à la conduite du chauffeur, il lui faut plusieurs minutes pour se calmer. Asser, notre guide, prend les choses en main et va directement régler ses comptes avec le chauffeur, qui s’excusera un peu plus tard pour sa conduite extrême (mais il paraît que c’est ainsi ici).
Au magasin d’épices, nous avons le droit à une présentation de nombreuses épices mais aussi à un jus d’hibiscus offert. Le gérant nous présente ses épices, ses thés, ses encens…
Après quasi une heure sur place et quelques achats, nous repartons en taxi vers le bateau mais cette fois, le conducteur roulera plus tranquillement.
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Arrivés au bateau, nous allons déjeuner alors que nous levons l’ancre pour repartir vers Kôm Ombo, que nous atteindrons vers 17h30. Nous passons l’après-midi à nous reposer puis filons boire un coup vers 18h30, face au Temple de Kôm Ombo, illuminé. Vient ensuite le dîner puis nous retournons à notre cabine pour la nuit.
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